jeudi 26 décembre 2013

Agenda 27 décembre 2013 -10 janvier 2014 & Meilleurs voeux – Beste wensen – Warm wishes


Nos meilleurs voeux pour 2014. Merci à tous ceux qui, en 2013, nous ont aidé à faire entrer un peu de lumière dans les prisons./

Onze beste wensen voor 2014. ! Hartelijk dank aan hen die ons hielpen om in 2013 een beetje licht te brengen in de donkerte van de gevangenissen./
Warm wishes for the holidays. Special thanks to those who have helped us bring a small ray of light into the darkness of the prisons 

Agenda 

Vendredi 27 décembre, 18 h Gaza on n'oublie pas, Avenue de Stalingrad, Bruxelles  

Mardi 31 décembre 2013, 19 h, un diner de Solidarité et d'Amitié en soutien à Bahar, 44 rue des Palais, Schaerbeek.
ATTENTION
Condition indispensable pour participer au repas, il faut avant le 30 décembre prévenir Nüray, la tante de Bahar
GSM 0498 / 25 24 10
nuray.dogru@gmail.com




Samedi 4 janvier 2014, 14:00 – 19:00 h, la fête des enfants des détenus belgo-marocains au Maroc, salle MQ La Querelle rue du lavoir 32, 1000 Bruxelles 



 Vendredi 10 janvier, 9 h, procès d'Ali Aarrass et sa soeur, Farida Aarrass contre l'état belge pour obtenir la protection consulaire des Belges ayant la double nationalité, Palais de justice, Bruxelles


Vendredi 10 janvier, 20 h, Ciné-débat sur la nouvelle méga-prison à Haren : « Prisons des villes, prisons des champs », café Le Queen's, rue Harenheyde, 10, 1130 Bruxelles


BONNE ANNEE HAPPY NEW YEAR GELUKKIG NIEUWJAAR عام سعيد (aam saiid) / sana saiida GLÜCKLICHES NEUES JAHR MUTLU YILLAR


jeudi 19 décembre 2013

Ciné-débat : la nouvelle méga-prison de Haren

Ciné-débat « Prisons des villes, prisons des champs »
Ce documentaire pose la question des nouvelles prisons souvent implantées hors des villes et concerne bien évidemment le projet de construction d'un nouveau complexe carcéral prévu à Haren mais aussi le devenir des prisons de Saint-Gilles et de Forest. Le court métrage de 20 minutes, réalisé avec des habitants de Haren et de Saint-Gilles, des travailleurs d'Inter-Environnement Bruxelles et les Ateliers Urbains, sera projeté pour la toute première fois le vendredi 10 janvier à 20 h, au café Le Queen's, rue Harenheyde, 10, à 1130 Bruxelles. Pour cette première séance, les habitants pourront débattre de la question en présence de deux invités : Luk Vervaet, enseignant en milieu carcéral et écrivain, et Hans Claus, de l'asbl Les Maisons (pour une approche pénitenciare durable). Autres dates prévues : le vendredi 25 janvier à 18 h et le mercredi 12 février à 16 h (lieux encore à définir). Entrée et sortie libre.
Contactez Isabelle Hochart.

 

dimanche 15 décembre 2013

Mardi 17 décembre à 17h : la parole à Souad sur son livre "Salée est l'eau de l'amer"

Ce mardi 17 décembre Souad, sera interviewée sur son livre à l'émission Paroles de femmes de Radio Arabel.
Pour toute invitation de Souad et pour commander le livre :
Merci de prendre contact via l'adresse suivante : lila-florida@hotmail.com, et par téléphone 0492/061043.

Une nouvelle (deuxième) édition de « Salée est l'eau de l'amer » sera disponible début janvier 2014.

samedi 7 décembre 2013

« Salée est l'eau de l'amer" chez Asbl Inaya Vzw : rencontre litéraire avec Souad et son livre



Le jeudi 5 décembre, Souad, accompagnée de deux lectrices, Nadine et Khadija, a présenté son livre « Salée est l'eau de l'amer » au petit déjeuner bio de l'asbl Inaya vzw, transformé en rencontre littéraire.


Vous voulez organiser une rencontre avec Souad et son livre dans votre association, votre école, votre syndicat ? Vous voulez commander le livre (prévente à 15 euros) ?

Merci de prendre contact via l'adresse suivante : lila-florida@hotmail.com, et par téléphone 0492/061043.

Une nouvelle (deuxième) édition de « Salée est l'eau de l'amer » sera disponible début janvier 2014.



Les réactions !


Mohamed Ouachen, artiste, réalisateur, après sa lecture du livre



« Ce bouquin est formidable !

Un livre qui dans la profondeur de nos identités meurtrières se fait témoignage. Une histoire d'une petite enfance, à l'accomplissement d'une femme égalitaire, dont les maux ont donné des mots. Des sueurs d'affections, des colères de pardon, la haine de ne pouvoir pardonner et l'amour du sacrifice.

La poésie au service d'un cœur blessé. La famille décrite comme jamais. La force d'une histoire nous replonge dans nos questionnements du passé. Pour en extraire un orage qui arrose un récit de vie semé par la force d'une femme.

Elle s'appelle Souad et son oeuvre "Salé est l'eau de l'amer". Un livre plein de pudeur, poignant et surtout important ! ».


mardi 3 décembre 2013

Rencontre litéraire avec Souad et son livre « Salée est l'eau de l'amer »







Le 23 novembre, à l'Espace Magh à Bruxelles, devant un public d'une centaine de personnes, Souad a présenté son premier livre de poésie « Salée est l'eau de l'amer ». Moments inoubliables et touchants, lorsque des femmes ont lu des poèmes et des extraits de son livre (photos). Les lectures ont été suivies par une séance de dédicace des livres par Souad. 






 Ce jeudi 5 décembre, l'Asbl Inaya Vzw organise une nouvelle rencontre litéraire avec Souad à son petit déjeuner BIO à 9h30.

Lecture de "Salée est l'eau de l'amer" à la présentation du livre à l'Espace Magh, le 23 novembre 2013.








« Il faut lire d'urgence ces mots aujourd'hui publiés.

Les lire absolument, pour ne plus jamais oublier

le livre de Souad nous rend la vue.. »



Ce sont les mots de Fabienne Brion, professeur à la Faculté de droit et de criminologie de l'UCL, Islamologue, qui était présente à la présentation du livre à l'Espace Magh. Voici ses impressions :


« "Salée est l'eau de l'amer…"

Et salées, les larmes de l'enfant tôt confrontée à la prison où elle rend visite à sa sœur et à ses frères.

Heures solitaires passée dans le train, vers Malines, Arlon, Verviers, Bruges… là où la conduit le hasard des transferts

Attentes. Parloirs.

Autres heures solitaires pour rentrer à Bruxelles où l'attendent sa mère, et les autres sœurs, et les autres frères

Espoirs et désespoirs

notés à la hâte sur un morceau de papier ou confiés le soir à un cahier



Trouver le courage d'annoncer au frère détenu la mort du père

loin des siens, au Maroc où il a été renvoyé, dans un murmure

Trouver le courage d'être, encore et encore, la messagère

entre ceux qui souffrent dans les murs et ceux qui souffrent hors les murs



Il faut lire d'urgence ces mots aujourd'hui publiés.

Les lire absolument, pour ne plus jamais oublier

que le problème de la prison n'est pas seulement celui de la surpopulation

que la prison est un problème indépendamment de la surpopulation

Souad médite, et ses médiations sont un antidote puissant aux mots qui tuent l'indignation,

un antidote puissant aux mots de la déshumanisation

"Criminel", bien sûr, mais aussi – en parlant des détenus – "stock carcéral", "statistiques de stock", "statistiques de flux"…

Ces mots nous aveuglent ; le livre de Souad nous rend la vue. »



Fabienne Brion





Organiser une rencontre avec Souad dans votre association, votre école, votre syndicat ? Commander le livre (prévente à 15 euros) ?



Merci de prendre contact via l'adresse suivante : lila-florida@hotmail.com, et par téléphone 0492/061043.

Une nouvelle (deuxième) édition de « Salée est l'eau de l'amer » sera disponible début janvier 2014.


vendredi 29 novembre 2013

Zakia Khattabi (ecolo) dénonce l'extradition illégale de Nizar Trabelsi (20 novembre 2013)


Zakia Khattabi (Ecolo) interpelle la ministre Turtelboom sur l'extradition illégale de Nizar Trabelsi. 
Réaction du président de la commission justice au Sénat, Alain Courtois (MR) : « Madame, accueillez Trabelsi chez vous ». Réaction de la ministre : " Le gouvernement a estimé que le non-respect de la mesure provisoire de la Cour était justifié en vue de l’obligation conventionnelle d’extrader, d’une part, et des considérations précieuses sur le plan de la sécurité publique, d’autre part."
 Texte intégral.
Demande d’explications de Mme Zakia Khattabi à la ministre de la Justice sur «le non-respect d’une décision de la Cour européenne des droits de l’homme dans l’affaire Trabelsi» (no 5 4063)
Mme Zakia Khattabi (Ecolo). – Le 6 décembre 2011, la vice-présidente de la section de la Cour européenne des droits de l’homme chargée de l’affaire Trabelsi a décidé d’indiquer au gouvernement belge, en application de l’article 39 du règlement de la Cour, de ne pas extrader le requérant, Monsieur Trabelsi, vers les États-Unis et ce, dans l’intérêt des parties et du bon déroulement de la procédure devant la Cour. La Cour estimait, sur la base de l’article 3 de la Convention européenne des droits de l’homme, qu’il y avait « un risque grave et difficilement réparable pour le condamné de subir un traitement inhumain et dégradant » en cas d’extradition vers les États-Unis.
Or, ce jeudi 3 octobre 2013, après que le Conseil des ministres a confirmé l’ordre d’extradition de M. Trabelsi, ce dernier, convaincu d’être transféré vers la prison d’Ittre, aurait été placé à bord d’un appareil américain, ou affrété par les autorités américaines, qui a décollé immédiatement en direction des États-Unis. Ce n’est que deux heures plus tard, madame la ministre, que vous avez fait une déclaration publique annonçant l’extradition, dans le cadre de laquelle vous avez soutenu que tous les recours avaient été épuisés et que la Belgique avait obtenu les garanties suffisantes de la part des États-Unis, vous référant aux trois conditions posées par la chambre des mises en accusation de Bruxelles dans son arrêt du 10 juin 2010.
Cet arrêt est justement toujours contesté devant la Cour européenne des droits de l’homme qui n’a pas encore rendu sa décision. C’est donc en violation de l’article 34 de la Convention et de la mesure provisoire prise le 6 décembre 2011 sur la base de l’article 39 du règlement de la Cour, que la Belgique a procédé à cette extradition. Cette situation est d’autant plus inacceptable que la Cour a rappelé à plusieurs reprises qu’elle maintenait la mesure provisoire durant le traitement du recours et qu’elle a pris la peine, dès le 6 décembre 2011, d’aviser le ministère belge de la Justice de ce que « lorsqu’un État contractant ne se conforme pas à une mesure indiquée au titre de l’article 39 du Règlement, cela peut entraîner une violation de l’article 34 de la Convention ».
C’est dès lors de manière délibérée et en parfaite connaissance de cause que l’État belge a choisi de ne pas respecter la mesure provisoire et de violer la Convention, préférant avoir à payer une indemnité plutôt que de respecter tant les droits d’un justiciable que ses engagements pris lors de la signature de la Convention et, plus particulièrement, celui de ne pas entraver, par aucune mesure, l’exercice efficace du droit de recours de celui-ci.
C’est la première fois que la Belgique ne respecte pas ses engagements dans le cadre du droit international. Cette violation, condamnée par Amnesty International, par la Ligue des droits de l’homme, par l’Association syndicale des magistrats et par les barreaux, est suffisamment inquiétante pour que vous nous expliquiez quel a été le raisonnement du gouvernement dans cette procédure.
Dans la déclaration publique que vous avez faite après l’extradition, vous avez avancé comme arguments l’épuisement des voies de recours et l’arrêt du Conseil d’État. Or un recours est toujours pendant devant la Cour européenne des droits de l’homme. La Belgique, comme ses cours et tribunaux – dont aussi le Conseil d’État –, est soumise au droit européen et à la juridiction de la Cour européenne des droits de l’homme. L’argumentation ne tient donc pas.
Quels sont dès lors, madame la ministre, les intérêts supérieurs pris en compte par la Belgique et qui pourraient justifier cette violation délibérée des droits de l’homme ? Faut-il s’attendre à l’avenir à ce que l’État belge prenne des libertés avec d’autres décisions de la Cour, voir d’autres instances supérieures, au détriment de la sécurité juridique ? Accessoirement, une telle politique ne privera-t-elle pas bientôt la Belgique de la crédibilité qui lui permettait d’encourager jusqu’il y a peu d’autres États à mieux respecter les droits fondamentaux ?
M. le président. – Outre la sécurité juridique, il y aussi la sécurité du territoire… Si vous voulez, madame Khattabi, vous pouvez accueillir M. Trabelsi chez vous !
Mme Annemie Turtelboom, ministre de la Justice. – Nizar Trabelsi a été extradé vers les États-Unis à la suite de l’arrêt du Conseil d’État du 23 septembre qui avait confirmé cette décision d’extradition.
Cette décision a été prise sur la base de la condamnation de Nizar Trabelsi en Belgique à douze ans d’emprisonnement effectif pour crimes terroristes commis en Belgique. Depuis la fin de sa détention, le 23 juin 2012, il se trouvait toujours emprisonné en attendant son extradition vers les États-Unis sur la base d’un mandat d’arrêt international de ce pays du 16 novembre 2007 concernant les crimes suivants : conspiracy to kill US nationals outside of the USA ; conspiracy and attempt to use weapons of mass destruction ; conspiracy to provide material support and resources to a foreign terrorist organization ; providing material support and resources to a foreign terrorist organization.
La décision a aussi été prise sur la base du fait qu’il n’a pas de permis de séjour en Belgique et que sa demande d’asile politique a été rejetée à deux reprises ; sur la base de la garantie de la part des autorités des États-Unis que cette affaire sera jugée par un tribunal de droit commun et non par un tribunal militaire ou un tribunal d’exception et qu’il ne peut pas être condamné à la peine de mort et, enfin, de l’arrêt du Conseil d’État par lequel tous les recours de droit ont été épuisés, et qui a confirmé la décision d’extradition vers les États-Unis.
Dans sa décision, le Conseil d’État se réfère à plusieurs reprises pour des questions importantes, aux arrêts de la Cour européenne des droits de l’homme, et notamment à l’arrêt Aswat du 16 avril 2013 en ce qui concerne le risque de traitement inhumain et dégradant, les arrêts Vinter et autres (Royaume-Uni) du 9 juillet 2013 et Babar Ahmad et autres (Royaume-Uni) du 10 avril 2013 quant aux risques d’un emprisonnement à perpétuité incompressible.
La détention d’extradition qui a commencé après l’exécution des peines belges, c’est-à-dire le 24 juin 2012, est basée sur la loi relative aux extraditions, notamment en son article 3.
L’extradition avait été accordée par l’arrêté ministériel du 23 novembre 2011, notifié le 6 décembre 2011.
Étant donné le rejet de la requête en annulation devant le Conseil d’État, l’arrêté ministériel était confirmé comme titre valable et justifiait de l’extradition.
La mesure provisoire imposée par la Cour européenne l’était en vertu du règlement de la Cour. La page juridique d’une telle mesure n’est donc pas la convention ni le protocole. La jurisprudence de la Cour estime qu’il existe une obligation de respecter une mesure provisoire.
Dans ce cas, le gouvernement a estimé que le non-respect de la mesure provisoire de la Cour était justifié en vue de l’obligation conventionnelle d’extrader, d’une part, et des considérations précieuses sur le plan de la sécurité publique, d’autre part.
L’État interjettera appel contre l’ordonnance du 3 octobre dernier. La requête et donc l’ordonnance sont intervenus après la remise de M. Trabelsi. Par conséquent, elles sont donc sans objet.

Mme Zakia Khattabi (Ecolo). – Monsieur le président, tout d’abord, je suis scandalisée par la proposition que vous m’avez faite d’accueillir chez moi M. Trabelsi. Je pensais qu’un fin connaisseur du droit tel que vous comprendrait la portée de ma question.

M. le président. – Ma remarque était spontanée et calculée.

Mme Zakia Khattabi (Ecolo). – C’est d’autant plus inquiétant… Madame la ministre, nous n’avons effectivement pas la même analyse juridique. Par ailleurs, les éléments que vous avancez ne contiennent rien de nouveau par rapport à 2011 : on continue à s’interroger sur ce qui a motivé la décision de la Belgique de procéder à l’extradition. Au-delà du scandale juridique, que je ne suis pas la seule à mettre en avant, l’ensemble des acteurs, et des connaisseurs de la législation, notamment en matière de droits de l’homme – M. Courtois mis à part – s’indignent et s’interrogent sur le procédé sciemment utilisé par le gouvernement, et je me réfère ici au problème de respect de la séparation des pouvoirs.
Par ailleurs, je pense surtout aux conséquences dramatiques que cela entraîne, pour la Belgique, sur le plan international, dès lors que notre pays perd toute crédibilité et toute légitimité de faire la leçon aux États qui ne respecteraient pas les droits de l’homme.
Vous avez beau jeu car l’opinion publique ne se sentira pas très concernée et risque même de se réjouir de ce départ. Je m’inquiète quant à moi de savoir que notre gouvernement cautionne de tels procédés de non-respect de nos engagements et des conventions internationales, alors qu’un État démocratique est supposé être respectueux de ces droits de l’homme.
Madame la ministre, depuis cette décision, quelle garantie le citoyen peut-il encore avoir que demain, pour des raisons de sécurité nationale qui ne requièrent aucune motivation de la part de l’administration ou pour satisfaire vos exigences d’un allié puissant, il ne sera pas soumis à l’arbitraire du pouvoir exécutif, quand bien même les décisions de justice lui auraient été favorables ?

dimanche 24 novembre 2013

PRISONERS' NEWS AGENDA (nov 2013 - déc 2013)


Sous le coup d’un mandat d’arrêt lancé par les autorités d’Ankara afin qu’il soit «remis» à la Turquie, Bahar Kimyongür a une nouvelle fois été arrêté à l’étranger. Alors qu’il devait participer à une conférence internationale sur la Syrie, Bahar a été appréhendé à Milan le 21 novembre par la police italienne et placé en détention à la prison de Bergame.
Lieu : Consulat d’Italie, 38 rue de Livourne, à 1000 Bruxelles
Organisation : le CLEA


















Lieu : Palais de Justice de Bruxelles (Place Poelaert).
Organisation : Le Comité de Soutien aux Inculpés du CAS et du NoBorder










Le film sera suivi d’un débat avec Farida Aarass et Luk Vervaet.
PAF : 3 Euros (étudiants et chômeurs), 5 Euros
Infos et réservations: 0485/96.98.37 asbl.ettic@gmail.co
Lieu : Pianofabriek,
Organisation : CinETTIC (Ettic en partenariat avec le Pianofabriek)













La première audience du procès d'Ali Aarrass et de Farida Aarrass contre l'Etat belge (en la personne de Didier Reynders) pour obtenir une protection consulaire pour les bis-nationaux aura lieu le 10 janvier 2014. Soutenez-les par votre présence au goûter, par votre soutien financier, par votre présence au procès ! Soutenez-les par votre présence au goûter, par votre soutien financier, par votre présence au procès !
Lieu : Vaartkapoen, rue de l’Ecole, 76 à 1080 Bruxelles
Organisation : Campagne Free Ali Aarrass


















Le Comité des familles des détenus européens au Maroc vous invite à un rassemblement. La Chambre du conseil du tribunal de première instance de Bruxelles vient de fixer la date du 10 décembre 2013 (14 heures) pour statuer sur « l’affaire d'Abdelkader Belliraj ».. Mobilisons-nous avec les organisations internationales pour demander la libération immédiate des tous les détenus restants dans le procès Bellliraj au Maroc et pour la libération de tous les prisonniers politiques.
Lieu : Palais de Justice, Bruxelles
Organisation : Comité des familles des détenus européens au Maroc















Avec Farida Aarrass, sœur d'Ali Aarrass ; Oum Maryam, épouse de Nizar Trabelsi ; Hamja Ahsan, frère de Talha Ahsan ; Ahmed Bouhali Zrouil, père de Hicham Bouhali Zrouil ; Marc Nève, avocat, membre et ancien vice président du Comité européen pour la prévention de la torture ; Dounia Alamat, avocate de la défense d'Ali Aarrass, spécialisée en droit de l'homme.
Chair/modérateur, Luk Vervaet, Association des Familles & Ami(e)s des Prisonniers.
Lieu : Pianofabriek, Rue du Fort / Fortstraat 35, 1060 Saint-Gilles,
Organisation : Association des familles & ami(e)s des prisonniers
  














Lieu : Avenue Stalingrad, 1000 Bruxelles
Organisation : Différentes organisations dont l'Association des familles & ami(e)s des prisonniers


 












mercredi 20 novembre 2013

"Des prisons surpeuplées... partout", par Bruno des Baumettes


SOURCE
Les vrais chiffres des prisons
Au 1er septembre 2013, la France dispose de 57 473 places dans 190 établissements pénitentiaires ; 67 088 personnes y sont incarcérées (dont 715 mineurs) pour une durée moyenne de 9,9 mois.


En outre, 11 226 personnes sont placées sous surveillance électronique ou “condamnées en placement extérieur”. Plus de 40 000 aménagements de peine ont été accordés en 2012 (plus 13 % en un an).

En 2011, 73 116 mineurs ont été jugés ; 8,4 % des condamnés (toutes peines confondues) avaient moins de 18 ans. Le taux de détention est de 101 personnes pour 100 000 habitants. (Source : Valeurs actuelles - 21/10/13)



Bond record de la surpopulation carcérale
Le nombre de détenus en France a fait un saut de +0,9% au 1er juillet pour atteindre 68 569 personnes incarcérées. C'est en un mois la moitié de la hausse des douze derniers mois. 

Lire la suite : L'Express (24/07/13)

Jean-Marie Delarue:

"Pour assurer la sécurité publique, les prisons ne doivent pas être surpeuplées"

Lire la suite : 20 Minutes (09/09/13)


François Bès, coordinateur de l'OIP :

"La loi incarcère plus de monde"

Lire la suite : France Info (21/10/13)



Surpopulation/Prisons:"forme de torture" 

La surpopulation dans les prisons s'apparente à une forme de mauvais traitement, voire de "torture", a estimé aujourd'hui le rapporteur spécial des Nations unies sur la torture, Juan Mendez. "Le recours excessif à l'emprisonnement est une des principales raisons de la surpopulation carcérale, qui débouche sur des conditions s'apparentant à des mauvais traitements, ou même une forme de torture", a-t-il affirmé en présentant son dernier rapport devant l'Assemblée générale de l'ONU. (Lire la suite : Le Figaro/AFP 22/10/13)


Lien vers : http://www.paris-normandie.fr/article/actualites/trop-de-detenus-en-prisonPrisons surpeuplées : certains parquets reportent des incarcérations

A lire dans :
Le parisien (28/09/13)

Lien vers : http://www.paris-normandie.fr/article/actualites/trop-de-detenus-en-prison
Chartres. Trois malfaiteurs relâchés faute de place en prison

A lire dans :
Ouest-France (04/08/13)
 
Bond record de la surpopulation carcérale
Le nombre de détenus en France a fait un saut de +0,9% au 1er juillet pour atteindre 68 569 personnes incarcérées. C'est en un mois la moitié de la hausse des douze derniers mois. 
Libération du 18/06/13

DANS LA MÊME SERIE A LIRE AUSSI :

Grand Sud : les prisons sont pleines : Des prisons toujours surpeuplées, et des personnels de plus en plus démotivés... Lire la suite : La Dépêche du midi (28/10/13)

Surpopulation dénoncées dans les prisons de Rennes et de Brest
Prison de Rennes-Vezin : "quatre-vingts détenus sont hébergés à même le sol !"
A lire et visionner sur FR3 Bretagne (19/10/13)


Lien vers : http://www.paris-normandie.fr/article/actualites/trop-de-detenus-en-prison
Trop de détenus 
en prison en Haute-Normandie

A lire dans :
Paris Normandie (30/07/13)


Prisons en Limousin :
" Nous manquons de moyens, cela devient dramatique "

A lire dans :
Le Populaire (31/07/13)


Lien vers : http://www.linfo.re/531975-La-population-carcerale-en-hausse-de-8-a-La-Reunion
La population carcérale
en hausse de 8% à La Réunion

A lire dans :
Linfo-Réunion (12/08/13)


Lien vers : http://www.ouest-france.fr/actu/actuLocale_-Prison-de-Pl%C5%93meur.-La-surpopulation-atteint-un-record_40811-2219621------56121-aud_actu.Htm
Prison de Plœmeur.
La surpopulation atteint un record

A lire dans :
Ouest France (12/08/13)


Et c'est pas qu'en France !

En Belgique  :
Huy : le bourgmestre prend un arrêté pour limiter la surpopulation à la prison

A lire dans :
La Meuse (30/07/13)

Commentaire personnel, de Marseille : Allons ! Monsieur Gaudin, faites un geste vous aussi pour les détenus des Baumettes ! C'est qui y fait 35° (à l'ombre)

lien vers : http://www.24heures.ch/vaud-regions/Les-zones-carcerales-debordent-comme-jamais/story/13810123En Suisse : 
Vaud : Les prisons du canton débordent comme jamais

A lire dans :
24 heures (02/10/13)


(Post édité le 13/08/13 - Mis à jour le 25/10/13)